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LE SYNOPSIS
Chaque jour, alors qu'il pulvérise des traitements agricoles sur les récoltes, le petit avion de ferme Dusty se prend à rêver qu'il pourrait voler en compétition au milieu des avions les plus rapides au monde.
Seulement voilà, il n'a pas vraiment le gabarit d'un champion, et en plus, il est sujet au vertige !
Comme il n'est pas du genre à renoncer, Dusty fait appel à Skipper, un as de l'aéronavale, pour l'aider à se qualifier lors des éliminatoires du Grand Rallye du Tour du Ciel et ainsi défier sur son terrain Ripslinger, le redoutable tenant du titre.
Et c'est au-dessus du monde de CARS, avec l'aide d'une hilarante flottille de casse-cou volants venus des quatre coins de la planète, que Dusty va déployer ses ailes pour relever, sous les yeux des spectateurs du monde entier, le plus grand défi de sa vie...
Dusty est un petit avion qui survole les récoltes pour pulvériser des traitements agricoles. Sa vie lui convient, mais son grand rêve serait de pouvoir voler en compétition auprès de ses héros, les avions les plus rapides du monde.
Pourtant, Dusty n'est pas vraiment bâti pour la course - et en plus, il a le vertige !
Avec l'aide de ses amis et d'un vétéran de la Seconde Guerre Mondiale qui a de la sagesse à revendre, il va décoller pour l'aventure de sa vie, se mesurant aux plus grands, dépassant ses limites et volant à des altitudes qu'il n'aurait jamais cru atteindre...
Le charme redoutable d'El Chupacabra est une légende au Mexique - vous n'avez qu'à le lui demander !
Mû par sa passion pour la course (et pour la belle et fascinante Rochelle), ce Casanova des airs est tout sauf discret : de sa voix retentissante à sa présence flamboyante, sans parler de son impressionnant moteur, il ne passe pas inaperçu...
Ses admirateurs ne savent pas trop où s'arrête la vérité et où commence la fiction chez leur champion, mais une chose est certaine : 'El Chu' vole avec son coeur, même si son goût du spectacle peut se révéler carrément dangereux à de telles altitudes...
Championne incontestée de tout le continent asiatique, Ishani vient d'Inde. Charmante à regarder, elle est impitoyable dans les airs.
Douée, très rapide, elle a plus d'un milliard de fans fidèles - dont un jeune pilote qui fait ses premières armes dans la compétition et la considère comme un modèle.
Exotique et mystérieuse, Ishani est pleine de surprises. Mais en véritable compétitrice, elle ne perd jamais la victoire de vue...
Adulé par de nombreux fans, Ripslinger a remporté trop de victoires pour véritablement les compter. Dans la compétition aérienne, il est de loin le plus grand - et il le sait.
Bénéficiant d'un soutien financier illimité et d'un équipement dernier cri, ce champion du monde n'a cependant pas toujours l'esprit sportif, surtout quand il s'agit d'un petit avion de ferme !
Dusty est loin d'être dans ses petits papiers et sa seule présence lui fait bouillir le fuel dans les tuyaux.
Et si l'inexpérience de ce dernier ne suffit pas à le mettre hors course, Ripslinger n'hésitera pas à donner un petit coup d'aile à la malchance... Il peut compter sur ses 'avions de main' pour ça !
Un nouvel extrait du film, avec les voix des membres de la Patrouille de France
Comme annoncé il y a quelques semaines, les membres de la Patrouille de France prêtent leurs voix à plusieurs véhicules militaires et civils, mais aussi à plusieurs instruments de bord dans Planes.
Il est guidé par la tour de contrôle de l'aéroport JFK dont les voix sont interprétées par nos pilotes chevronnés?
*A propos de la Patrouille de France :
Le Capitaine Raphaël Nal, accompagné de sa formation de 8 hommes mais aussi de 2 pilotes appartenant à l'équipe de voltige de l'Armée de l'Air, se sont essayés à une toute nouvelle discipline elle aussi hautement acrobatique: le doublage de film.
Ensemble, ils prêtent leurs voix à plusieurs véhicules militaires et civils - mais aussi à plusieurs instruments de bord - que le public découvrira dans PLANES. Un mur du son très différent de celui que ces pilotes chevronnés ont l'habitude de rencontrer?
Planes : un nouvel extrait du film avec Bulldog et El Chupacabra !
Nous approchons de la sortie de Planes au cinéma le 9 octobre prochain, et je vous propose de découvrir un nouvel extrait du film !
Vous pourrez y découvrir Bulldog, le concurrent anglais, qui se moque d'El Chupacabra? Ce dernier lui répond par l'un de ses fameux coups de cape !* (*à lire avec l'accent mexicain*).
Planes : découvrez un nouvel extrait du film !
Avant l'avant-première parisienne du film qui a lieu demain soir, je vous propose de découvrir un nouvel extrait de Planes, le nouveau film d'animation Disney !
On y découvre Dottie, l'amie de Dusty qui prévient ce dernier des dangers qu'il court en participant au Grand Rallye du Tour du Ciel?
Découvrez la chanson de Frantz pour encourager Dusty, une scène musicale exclusive disponible dans les bonus des Blu-Ray du film !
La musique dans PLANES
C'est à Mark Mancina, récompensé par un Grammy Award pour son travail avec Phil Collins sur TARZAN, qu'a été confié le soin de produire et composer la musique de PLANES. Sa partition se veut à l'image du caractère des personnages et de leur folklore local. 'Tous mes thèmes font écho soit à leurs racines, soit aux habitudes musicales des lieux où ils se rendent.', reconnaît Mark Mancina. Pour parvenir à ses fins, le compositeur a fait appel à une large variété d'instruments. Son orchestre, composé de 80 musiciens, comprend de nombreux instruments à corde allant des guitares électriques ou acoustiques jusqu'aux simples sitars. Tout au long du film, on peut donc tour à tour entendre une petite formation de mariachis, mais aussi de la samba, de la musique techno, de la polka, des arias au parfum très opéra et même du heavy métal. L'éclectisme est vraiment de mise. Mark Mancina a même fait appel à un choeur de 22 voix d'hommes pour les besoins d'une des séquences. 'Et j'ai bien sûr ajouté çà et là des morceaux bien entraînants aux tonalités britanniques, allemandes, indiennes, chinoises, mexicaines... suivant les besoins de l'intrigue.'
Pour la scène d'ouverture du film, celle où Dusty se prend à rêver qu'il vole en compagnie d'avions de chasse, les cinéastes se sont tournés vers un pur groupe de rock pour interpréter le titre 'Nothing Can Stop me Now', véritable reflet de la personnalité du petit avion de ferme. Ce rythme de guitares entraînant a le mérite de propulser tout de suite les spectateurs au coeur même de l'histoire. Mark Holman a écrit et interprété la chanson, le légendaire Ed Chermey l'a produite et on l'entend régulièrement en fond sonore le long du film ainsi qu'au tout début du générique de fin. Mark Mancina confie : 'Le moment le plus intense de toute cette histoire reste indubitablement les 9 minutes de musique ininterrompue qu'on peut entendre au moment du sprint final. L'exercice était pour moi loin d'être facile, mais cela a permis à l'équipe technique de rehausser encore plus l'exploit accompli par Dusty durant la scène et la valeur de son courage. L'aspect émotionnel s'en est trouvé renforcé, et c'est là une grande satisfaction'. PLANES comporte également deux autres chansons originales : 'You don't Stop - NYC' écrite par Ali 'Dee' Theodore et interprétée par Chris Classic et Alana D, et 'Fly' écrite par Jon Stevens et John Fields, et interprétée par Jon Stevens of the Dead Daisies.
Devenir autre chose que ce à quoi l'on était destiné est un des thèmes principaux du film. Mais pour pouvoir aider Dusty à prendre son envol, les cinéastes ont d'abord commencé par des recherches, phase essentielle du développement de l'histoire, dont les répercussions se font ressentir aussi bien dans l'élaboration des personnages que dans l'éclairage des séquences. Celles-ci ont été guidées par le principe de John Lasseter : fidélité maximum à la réalité.
La productrice Traci Balthazor-Flynn confesse : 'L'authenticité a été notre moteur. Il ne pouvait en être autrement pour un film comme PLANES. Il nous a fallu comprendre comment est construit un avion et comment il fonctionne. Il nous a fallu aussi découvrir comment il volait, comment les différentes forces de la nature pouvaient entraver sa navigation, les sons qu'il émet durant telle ou telle manoeuvre... En un mot, savoir comment un petit engin pouvait se comporter au milieu de plus grands...'
Pour respecter le principe de John Lasseter, les artistes ont donc dû garder à l'esprit la structure physique d'un avion - squelette métallique, dimensions et poids - tant dans le dessin que dans l'animation des personnages. Les ailes se devaient d'être rigides, les corps ne pouvaient être étirés ou ramassés, les hélices devaient fonctionner comme les vraies... Il leur a donc fallu trouver tout un ensemble de moyens subtils de transmettre les émotions et les gestes des personnages.
LA SCÈNE COUPÉE : L'ENTRAINEMENT DE DUSTY
PLANES : Apprenez à dessiner Dusty avec un story-boarder des studios Disney
Pour que PLANES puisse prendre son envol sur les écrans, il a fallu une combinaison unique de documentation, de collaboration et de travail acharné. Klay Hall se souvient : 'Nous nous sommes vite aperçus que quand les personnages étaient au sol, les roues sur terre, ils semblaient réels. Mais une fois qu'ils avaient décollé et qu'ils évoluaient dans un espace en trois dimensions, le défi devenait beaucoup plus difficile car au début, ils avaient tous l'air de jouets.' Les cinéastes ont alors fait appel à Jason McKinley, spécialiste de la création d'effets d'avions en vol pour le cinéma et la télévision, pour s'occuper des séquences aériennes du film. Cet homme est le créateur, le producteur et le réalisateur de la série 'Dogfights' pour History Channel, et il a entre autres été consultant technique sur RED TAILS, le film d'Anthony Hemingway avec Terrence Howard et Cuba Gooding Jr. sur les Tuskegee Airmen. Il explique : 'Chaque scène de vol se déroule sur fond de ciel, un ciel immense. Quand vous volez à une vitesse de 500 à 650 km/h, l'espace dans lequel vous évoluez paraît tout simplement infini. Nous avons donc cherché à faire en sorte que le public ressente visuellement cette impression d'espace et de vitesse.'
Initialement chargé d'amener l'équipe artistique des phases de storyboard à celles de prévisualisation, Jason McKinley s'est retrouvé au final responsable de la crédibilité des scènes de vol. Klay Hall reconnaît que son aide s'est révélée précieuse : 'Jason a aidé toute l'équipe à rendre la moindre séquence authentique, qu'il s'agisse de restituer l'inertie des avions dans les airs, la pression exercée sur les appareils lors des loopings ou des virages, ou bien encore les décollages ou les atterrissages. Ils nous a tous bluffé par la façon dont il a su rehausser chacune de nos scènes...' La stratégie première de Jason McKinley rejoint celle de John Lasseter : coller aux faits, respecter les dimensions et la vitesse. Il précise : 'Les avions devaient avoir la bonne taille, tout comme le décor, et il fallait que les appareils volent à la vitesse qui est la leur dans la réalité. L'oeil humain est habitué au mouvement - tout le monde a déjà vu un oiseau voler ou la trajectoire d'un ballon dans le ciel. Nous avons dans notre cerveau une bibliothèque de mouvements et savons très exactement à quoi ils sont censés ressembler. Dès l'instant où l'on s'éloigne des lois physiques, tout le monde sent que quelque chose cloche.'
Avant même de rejoindre les rangs de l'équipe de création de PLANES, Jason McKinley avait effectué des recherches approfondies pour connaître les caractéristiques spécifiques de chaque avion - degré de virement maximum, taux de roulis, vitesse maximale. Il confesse : 'C'est important de connaître les limites de chaque appareil. El Chu est bien plus imposant que Dusty. Sa façon de se mouvoir dans les airs sera autrement différente que celle du petit avion de ferme. Si on n'avait pas respecté cette réalité, ça aurait sonné faux, et le public s'en serait tout de suite aperçu'.