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Disneyland Dream
8 janvier 2015

Into the Woods

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Au Cinéma le 28 janvier 2015

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Plongez-vous sans plus attendre dans l’univers d’INTO THE WOODS, PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS avec des images du film.

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L’histoire

À travers un regard résolument moderne et décalé, INTO THE WOODS, PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS revisite quelques-uns des plus célèbres contes de fées. Les intrigues de plusieurs histoires bien connues se croisent afin d’explorer les désirs, les rêves et les quêtes de tous les personnages. Cette comédie musicale aussi enjouée qu’émouvante suit Cendrillon (Anna Kendrick), le Petit Chaperon rouge (Lilla Crawford), Jack et le haricot magique (Daniel Huttlestone) et Raiponce (MacKenzie Mauzy), tous réunis dans un récit original où interviennent également un boulanger et sa femme (James Corden et Emily Blunt) qui espèrent fonder une famille, mais à qui une sorcière (Meryl Streep) a jeté un mauvais sort…

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Rob Marshall, le talentueux cinéaste à qui l’on doit la comédie musicale primée aux Oscars CHICAGO et le film Disney PIRATES DES CARAÏBES : LA FONTAINE DE JOUVENCE, signe la réalisation.

Le film est basé sur la comédie musicale originale lauréate de plusieurs Tony Awards dont le livret est signéJames Lapine (également auteur du scénario) et la musique et les paroles du légendaire compositeur Stephen Sondheim

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 La Sorcière (Meryl Streep) qui espère lever une malédiction et retrouver sa beauté.

La femme du Boulanger (Emily Blunt), une femme qui rêve d’avoir un enfant.
Le Boulanger (James Corden), un homme qui travaille dur et voudrait désespérément fonder une famille.

   

Cendrillon (Anna Kendrick), une jeune fille à la recherche d’elle-même.
Le Prince de Cendrillon (Chris Pine), qui cherche la femme de sa vie.

   

Le Loup (Johnny Depp), qui s’intéresse de très près au Petit Chaperon Rouge
Le Petit Chaperon Rouge (Lilla Crawford), une fille maligne et courageuse qui s’aventure dans les bois et va y vivre bien des aventures.

   

Jack (Daniel Huttlestone), un jeune étourdi à l’esprit aventureux qui a échangé sa précieuse vache contre cinq haricots magiques.
Raiponce (MacKenize Mauzy), une jeune fille qui vit isolée dans une tour et va découvrir le monde pour la première fois.

   

Le prince de Raiponce (Billy Magnussen), est le séduisant et ardent Prince qui fait la cour à Raiponce.

Découvrez plus de personnages présents dans INTO THE WOODS: 
La mère de Jack, une femme pauvre et accablée qui fait cependant tout pour protéger son fils. 
La Marâtre avide de richesse et de gloire, qui va tout faire pour marier une de ses filles à un prince.

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Bande-annonce VOST:

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 INTO THE WOODS – MAKING-OF – VOST

Quand la forêt devient le miroir de la vie… 

Choisissez bien vos mots, les enfants tendent l’oreille.
Choisissez bien vos actes, les enfants observent. Pour apprendre.
Choisissez bien vos souhaits. Ce sont des enfants.
Ils pourraient s’égarer. Les souhaits ont tous un prix…
« Finale / Children will Listen » 
C’est le 28 janvier prochain que le public français pourra découvrir – en version originale sous-titrée exclusivement – la somptueuse adaptation de la comédie musicale  « Into the Woods » de Stephen Sondheim et James Lapine, mise en scène par Rob Marshall. Comme l’œuvre originale, elle revisite de façon décalée les contes de Cendrillon, du Petit Chaperon rouge, de Jack et le haricot magique et de Raiponce et réunit tous ces personnages au sein d’une histoire inédite où interviennent également un boulanger et sa femme qui espèrent fonder une famille, mais à qui une sorcière a jeté un mauvais sort… Meryl Streep (la sorcière), James Corden (le boulanger), Emily Blunt (sa femme), Anna Kendrick (Cendrillon), Chris Pine (le Prince), Tracey Ullman (la mère de Jack), Christine Baranski (La marâtre) et Johnny Depp dans le rôle du loup apportent tout leur talent de comédien mais aussi de chanteur à cette incroyable production.
« Avec 765 levers de rideaux lors de sa première présentation à Broadway du 5 novembre 1987 au 3 septembre 1989, « Into the Woods »* a durablement marqué son époque, se révélant l’une des comédies musicales les plus remarquables de la fin du siècle dernier, mais aussi l’un des plus grands succès populaires du compositeur et parolier Stephen Sondheim, associé au librettiste James Lapine.
Lorsqu’en 1987 le tandem se reforme après le succès de leur musical « Sunday in the Park with George » (prix Pulitzer 1985), Sondheim et Lapine ont l’idée d’écrire une comédie musicale légère et ludique intitulée « Into the Woods ». Légère et ludique pensent-ils ? Pas tant qu’il n’y paraît…
« Into the Woods » enchevêtre les destins de célèbres personnages de contes avec une autre histoire liant le tout : celle d’un boulanger et de sa femme. À cause de son désir d’enfant, ce couple va déclencher un tel capharnaüm que la physionomie des contes va s’en trouver changée à jamais. Personnages urbains, modernes, impatients et sarcastiques perdus dans un univers moyenâgeux au milieu de princes, princesses, sorcière et autres géants, le boulanger et sa femme, à la différence des autres héros, sont si modernes dans leur approche de la vie que le public peut rapidement s’identifier à eux. Si bien qu’en fin de compte, les thèmes abordés dans « Into the Woods » ne sont pas dénués d’une portée philosophique, ou du moins, mènent à une réflexion sur nos modes de vie… 
Après avoir remporté 6 oscars avec le film CHICAGO (2002),Rob Marshall souhaitait s’attaquer à une œuvre de Stephen Sondheim – un compositeur qu’il vénère - et c’est ce dernier lui-même qui, il y a plus de dix ans, lui suggéra « Into the Woods ». Ce musical présente en effet des avantages cinématographiques incontestables : effets spéciaux, maquillages, décors du Moyen-Âge et une histoire qui se prête aux rêves et aux extravagances. En outre, Rob Marshall n’est pas un inconnu à Broadway ; c’est son terreau, sa base, puisqu’il a été chorégraphe de nombreux musicals, de « Victor / Victoria »  à « Damn Yankees » en passant par « A Funny Thing Happened on the Way to the Forum » (deStephen Sondheim) et, bien entendu, « Cabaret » de John Kander et Fred Ebb, qu’il a concocté avec Sam Mendes.Rob Marshall a aussi travaillé sur « Company » de Stephen Sondheim en 1995, ce qui fait de lui un metteur en scène « légitime » aux yeux du compositeur exigeant.
En réalisant INTO THE WOODS : PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS,  Rob Marshall a voulu suivre le même cheminement narratif que le musical, avec deux actes bien distincts et mûrement réfléchis. Le metteur en scène a d’ailleurs insisté pour que James Lapine, le librettiste du show, soit aussi le scénariste du film car il souhaitait rester très proche de la version scénique afin de ne pas décevoir les nombreux afficionados de cette œuvre, évitant ainsi de la dénaturer en gardant toute son essence.
Dans la première partie, les personnages des contes sont égoïstes et ne pensent qu’à exhausser leurs vœux (« I wish »). Véritable prouesse artistique, le prologue de 12 minutes plante et développe tout ce que les personnages vont accomplir « dans les bois ». La forêt est un endroit noir où l’on se perd facilement (au sens propre comme au figuré), et d’où l’on ressort « sage ou détruit » selon les mots mêmes deStephen Sondheim. À toujours demander plus et être d’éternels insatisfaits, les personnages en oublient la moralité, la responsabilité vis-à-vis des autres, s’arrangent de leurs différents mensonges pour arriver à un seul but : leur contentement personnel.

La deuxième partie est la conséquence de leurs actes trop individualistes.

La morale d’INTO THE WOODS : PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS nous guide donc vers une seule conclusion : No One Is Alone (qui est aussi le titre d’une chanson). Personne n’est jamais seul dans la construction ou dans l’adversité. Amis, parents, partage, soutien, tout aide à la fondation de notre personnalité et à nous rendre la vie plus agréable. Faire fi des autres équivaut à se perdre un peu soi-même et ne jamais sortir des bois ténébreux. Les autres ne sont finalement pas l’enfer que certains ont pu suggérer… »

Patrick Niedo - Historien de la comédie musicale - Auteur de l’ouvrage « Histoires de comédies musicales »

Editions IPanema (2010) 

* La comédie musicale “Into the Woods” a remporté le Tony Award de la meilleure musique, du meilleur livret et de la meilleure comédienne dans une comédie musicale. Elle a été jouée dans le monde entier.

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Découvrez la featurette de la chanson : « No One Is Alone » 

commentés par Anna Kendrick (Cendrillon) et Rob Marshall, le réalisateur du film ! 

"Des Sorcières disent vrai, des Géants font le bien. Choisis ta vérité, choisis ce qui est bien..."

Extrait de "No One is Alone" 
Lorsqu’ils ont écrit "Into the Woods", Stephen Sondheim etJames Lapine voulaient créer une comédie musicale originale et épique dont l’action se déroulerait dans un monde fantastique. Les deux hommes, qui avaient déjà collaboré sur la comédie musicale lauréate du Prix Pulitzer "Sunday in the Park with George", ont alors mêlé plusieurs contes de fées traditionnels à une histoire originale, celle du Boulanger et de sa femme. Leur création est un conte magnifique et émouvant dont les thèmes contemporains sont traités à travers les personnages classiques de Cendrillon, Jack et le Haricot magique, Raiponce et le Petit Chaperon Rouge, et qui explore ce qui se passe après la célèbre formule "Et ils vécurent heureux à tout jamais". Issus de la tradition orale, les contes de fées sont apparus il y a plusieurs siècles, et se sont transmis depuis de génération en génération. Sous couvert de simple divertissement, ils permettent d’éduquer les enfants, notamment sur le plan émotionnel, en présentant des métaphores sur la vie. Le psychologue Bruno Bettelheim a d’ailleurs évoqué leur profonde nature symbolique dans son livre "Psychanalyse des contes de fées", dans lequel il défend la thèse selon laquelle les contes merveilleux aident les enfants à découvrir le sens profond de la vie tout en les divertissant.
Meryl Streep partage cette opinion : "Les contes de fées sont peu à peu devenus des contes moraux. Leur but est de faire peur aux enfants afin qu’ils se tiennent à distance des dangers de la vie, et d’encourager les jeunes filles à épouser des hommes riches ! Tout le monde rêve d’épouser un prince et de vivre heureux à tout jamais.
Mais ça ne marche pas toujours comme ça."
Et c’est précisément cette confrontation entre contes de fées et réalité, voulue par Stephen Sondheim et James Lapine, qui a séduit les jeunes acteurs du film.

AnnaKendrick explique : "La raison pour laquelle la plupart desproductions lycéennes ne montent que le premier acte du musical,c’est parce qu’il s’achève sur le célèbre "Et ils vécurent heureux à tout jamais". C’est pourtant le deuxième acte qui rend cettehistoire absolument incroyable et lui donne tout son sens et toutesa profondeur."

Johnny Depp ajoute : "J’ai beaucoup aimé l’idée de rassembler tous ces contes qui ont bercé notre enfance au sein d’une comédie musicale grandiose. On en apprend beaucoup sur ces histoires qui sont plus effrayantes, mais aussi plus drôles, qu’on ne l’imagine. L’idée de départ de Stephen et James était vraiment brillante, et ils l’ont merveilleusement concrétisée."

Stephen Sondheim commente : "James a fait quelque chose que personne n’avait osé faire en 500 ans avec l’histoire de Cendrillon : il l’a réinventée. Dans sa version, la jeune femme laisse délibérément sa chaussure sur les marches du palais, ce qui est très intelligent de sa part, car cela lui permet de savoir si le Prince l’aime vraiment."

Chris Pine, qui interprète le Prince de Cendrillon, ne connaissait pas le spectacle "Into the Woods" lorsqu’il a été contacté pour le rôle. Mais à la lecture du scénario, il a non seulement été captivé par les thèmes développés dans l’oeuvre, mais également par la technique de ses auteurs.

Il explique : "Ils ont pris différents contes de fées et ont mêlé leursunivers et leurs intrigues pour créer une oeuvre originale d’uneprofondeur et d’une complexité remarquables. Pour moi, c’est unfilm sur le passage à l’âge adulte, car les personnages découvrentcombien la vie peut être extraordinaire dans toutes ses formes etmanifestations, et sur l’ouverture au monde."

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Découvrez la featurette : « Be Careful What you Wish For » commentée par
Meryl Streep 
(la Sorcière), Emily Blunt (la Femme du boulanger), Chris Pine (le Prince) et Rob Marshall, le réalisateur du film !
 

"Choisissez bien vos mots, les enfants tendent l’oreille.

Choisissez bien vos actes, les enfants observent. Pour apprendre.

Choisissez bien vos souhaits. Ce sont des enfants.

Ils pourraient s’égarer. Les souhaits ont tous un prix…"

Extrait de "Children will Listen"

Il y a douze ans, suite au succès phénoménal de l’adaptation cinématographique de la comédie musicale de Broadway CHICAGO (qui a remporté 6 Oscars, dont celui du meilleur film), le réalisateur Rob Marshall a contacté Stephen Sondheim pour lui faire savoir qu’il souhaitait adapter l’un de ses légendaires spectacles sur grand écran. Le compositeur et parolier a alors évoqué l’une de ses oeuvres les plus populaires et les plus poignantes : "Into the Woods", dont l’histoire correspondait selon lui parfaitement à l’univers du réalisateur.

Il se trouve que Rob Marshall et John DeLuca, son associé à la production, étaient fans de la comédie musicale phare de Stephen Sondheim et James Lapine depuis 1987, lorsqu’elle a été jouée pour la première fois au Martin Beck Theatre sur Broadway.
À propos de la pièce, Rob Marshall déclare : ""Into the Woods" mêle avec brio la magnifique musique de Sondheim et la fantastique histoire imaginée par Lapine. Cette version moderne de nos contes de fées préférés explore de nombreux thèmes comme les conséquences de nos désirs, la complexité de la relation parent/enfant, la cupidité, l’avidité, l’ambition, le deuil, et peut-être plus important encore, l’amour inconditionnel et le pouvoir de l’esprit humain."
Et puis en 2011, à l’occasion du 10e anniversaire des attentats du 11 septembre, le cinéaste a entendu le Président Barack Obama s’adresser aux familles des victimes et les réconforter, en leur disant : "Vous n’êtes pas seuls… Aucun d’entre nous ne l’est." Cette formule, tirée de l’une des chansons les plus bouleversantes de "Into the Woods", a trouvé écho en Rob Marshall, et il a su que le temps était venu de porter la comédie musicale sur grand écran.
Le réalisateur commente : "À bien des égards, "Into the Woods" est pour moi un conte de fées moderne qui s’adresse à la génération post-11 septembre. Stephen Sondheim et James Lapine étaient très en avance sur leur époque lorsqu’ils ont écrit cette comédie musicale. Savoir que nous ne sommes pas seuls dans ce monde incertain est très réconfortant et porteur d’espoir.
" Le thème principal de "No One Is Alone" est celui de la solidarité, comme l’explique Stephen Sondheim : ""No One Is Alone" signe la fin de "Into the Woods" et résume le message du spectacle : nous ne sommes pas seuls, nous faisons partie d’une communauté et nous sommes tous responsables des actions d’autrui. La solidarité est une valeur en laquelle je crois profondément et qui méritait qu’on lui consacre une chanson."
Rob Marshall et John DeLuca ont ensuite soumis leur idée à Disney et ont immédiatement su qu’ils avaient trouvé un partenaire de choix pour la réalisation de leur projet.
Le cinéaste commente : "Les équipes de Disney ont réservé un accueil très favorable au projet. Elles avaient, elles aussi, très envie d’explorer la définition du "conte de fées moderne" à travers ce film."
Le producteur Marc Platt, qui a alors rejoint l’équipe de production du film, déclare : "Disney est une société qui raconte traditionnellement des contes de fées classiques, mais elle peut aussi être la société qui revisite ces histoires de manière contemporaine et inattendue."

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